Améliores ton SEO !

Je n’en parle pas souvent, mais dès que mes dix doigts boudinés musclés graciles ont approché pour la première fois un clavier d’ordinateur dans les années 80, j’ai tout de suite été attiré par les technologies web, les bases de données et les animations par ordinateur. C’était un commodore 64. L’internet n’existait pas encore et sa mère l’arpanet n’était utilisée que par les militaires.

Et c’est quoi la SEO ?

Lorsque j’ai remis à jour ce blog, j’ai ajouté une extension pour m’aider dans le SEO, que j’avais délaissé jusque-là. Cet outil de « Search Engine Optimisation » est sensé m’aider à mieux me placer sur le web et pour y parvenir analyse le contenu et la forme de mes articles, les titres et les métadonnées. En bon français la SEO s’appelle une aide au référencement. L’outil vérifiera si mon « contenu cible » est bien cité plusieurs fois, si j’ai assez de liens internes et externes. etc.

L’ère du Selfie

Ce qui m’amuse le plus avec cet outil. ce sont ses principes de bases pour la composition des textes, comme par exemple la longueur des phrases:

30% des phrases contiennent plus de 20 mots, ce qui est au delà du ratio maximum recommandé de 25%

Dans les cours de rédaction à l’école j’ai appris à écrire de belles phrases, à utiliser des ponctuations pour séparer les propos, une virgule par-ci, deux-points par là et des points-virgules. Bon je pense que les points virgules sont vraiment tombés en désuétude. A part dans les fichiers de données séparés par des délimiteurs. Mais tout ça c’est fini. Faut pas perdre le lecteur. Faut rester bref. L’autre truc que préconise la SEO c’est la voix passive:

25% des phrases sont à la forme passive, ce qui est au delà du ratio maximum recommandé de 10%

A l’ère du selfie et puisque je tiens un blog, je dois apparemment mettre de l’actif plus souvent. Je me prends en photo, ce n’est plus une photo de moi tirée par un photographe. Et je ne m’exprime plus d’un ton neutre.

Je suppose en outre que les règles de SEO des pages françaises ont été importées directement de la langue anglaise: ce qui est probablement une erreur puisque’on sait que le français est beaucoup plus verbeux et que la circonvolution y est plus pratiquée qu’en anglais, généralement beaucoup plus directe. Bref ce ne sont pas le mêmes langues. Je suppose; il faudrait vérifier. Un vrai geek verbeux le saura peut-être.

Pour conclure je ne suis pas certain que je vais pouvoir suivre les recommandations que nous impose le professeur internet, mon nouveau prof de rédaction, mais au moins je n’oublierai pas de remplir les métadonnées.

Bref, j’ai choisi Tempera

Le confinement nous est tombé sur le coin de la gueule avec son triste lot d’annulations de concerts, de festivals, et plus personnellement de 3 expositions qui devaient avoir lieu ce printemps. Et curieusement, plutôt que d’en profiter pour rattraper mon retard dans le tri de photos, je me suis plutôt renfermé dans ma coquille pour ne faire que des choses personnelles et complètement inintéressantes pour le monde extérieur. Bref, je me suis reposé et j’ai limité mes activités photographiques au strict minimum en envoyant par-ci par-là quelques photos qu’on me demandait.

Puis le déconfinement est arrivé. Et n’a pas vraiment changé grand’chose.

Et récemment mon hébérgeur a apporté une sérieuse mise à jour à sa version de PHP, et mon blog s’est arrêté de battre pendant quelques jours. Je suis donc sorti (un peu) de mon marasme pour regarder ce qui n’allait pas et comme j’avais les mains dans le cambouis pour faire les mises à jour j’en ai profité pour chercher un nouveau thème pour mon blog, le précédent étant une des raisons pour son subit arrêt du coeur. J’en ai testé plusieurs, dont Blackoot Lite et Ghost Lite qui me plaisaient pas mal, mais sans jamais être entièrement convaincu. J’étais prêt à dépenser quelques dollars ou euros pour prendre une version pro, mais même avec les caractéristiques additionnelles, ma satisfaction m’était toujours pas à 100% … Et puis, alors que je faisais un ultime tour d’horizon je suis tombé sur Tempera et quand j’ai vu l’interface de configuration j’ai tout de suite été emballé: grand choix de réglages et surtout tout ce dont j’avais besoin. Après, il faudra voir à l’usage…

Bref, j’ai choisi Tempera.

Sandro Botticelli — Adjusted levels from File:Sandro Botticelli – La nascita di Venere – Google Art Project.jpg, originally from Google Art Project. Compression Photoshop level 9.
Domaine public, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=22507491

Instacréation

Ayant commencé la photo avec un Instamatic il était bien normal qu’à un moment ou un autre je m’intéresse à Instagram, surtout depuis qu’il est disponible sur Android. Et en dépit du fait que ce système appartienne aujourd’hui à Facebook qui n’hésite pas à utiliser le matérial publié à travers ses services comme il l’entend. Ceux qui ont peur – et ils ont bien raison – peuvent encore aller lire les termes d’utilisation d’Instagram, mais c’est peut-être déjà trop tard 🙂 . Mais je m’égare.

D’ailleurs, au début instagram m’énervait. D’abord parce que la plupart des gens l’utilisent sur des photos qui sont déjà toutes pourries à la base et qui ne peuvent pas être sauvées même par le meilleur filtre du monde, d’autre part parce que j’avais l’impression que tout le monde utilisait le filtre toaster ou 1977 pour simuler la patine des vieilles photos jaunies qu’on retrouvait dans nos vieux albums de photos (pour ceux comme moi qui sont autour de la cinquantaine). Bref je n’en voyais pas vraiment l’intérêt. Mais je l’ai quand même installé et essayé. Et j’ai pu constaté surtout à travers les photos de certains de mes camarades, qu’en l’utilisant bien on pouvait avoir une vrai démarche artistique à travers ce système. Le nombre de filtres reste toujours limité, mais c’est aussi un challenge amusant d’essayer de faire quelquechose d’intéressant avec de faibles moyens. Au bout du compte Instagram permet de se payer des petites tranches de créativité n’importe où, des moments de détente bienvenus et sans trop se prendre la tête. Bref, je pense que ça va m’amuser un petit moment, mais je ne vais laisser tomber mon réflex pour autant.

Un style de photo de concert ?

Floyd Beaumont & the Arkadelphians @ BAG ThursdayLorsqu’on photographie un groupe en concert pour la première fois, on a toujours le souci de bien faire et on se limite donc forcément à un style de photo classique, à un genre qu’on maîtrise bien, et le plus souvent en couleur. C’est d’autant plus vrai si on n’a que 2-3 chansons pour pouvoir faire son travail comme c’est le cas dans beaucoup d’endroits. Pour moi –  et comme pour la plupart des photographes je pense – si l’appréciation du public est importante, l’ultime récompense est que l’artiste soit satisfait de sa photo ou de celle du groupe et qu’il s’y reconnaisse pleinement. En conclusion, on essaye définitivement d’assurer en osant éventuellement une incursion dans le noir/blanc si on sent que c’est un style qui est apprécié par le modèle.Swamp Train @ BAG Thursday D’ailleurs, et en apparté,  le noir/blanc est un style en soi et son utilisation ne devrait pas être limitée à la récupération de photo en couleur ratées ou trop saturées, ce qui est trop souvent le cas (et je le fais aussi), mais je reviendrai peut-être un autre jour sur ce sujet.

Par contre, quand on photographie le même groupe pour la 3ème ou 4ème fois dans des circonstances un peu similaires aux précédentes fois, on peut commencer à s’amuser et tenter de nouvelles approches et des styles différents. Pour ma part j’essaye actuellement de développer un style différent, quelquechose qui ne soit plus de la couleur mais pas non plus complètement du noir et blanc, ni des virages de type sépia,  et qui en même temps soit proche de ce qu’on pouvait faire en argentique avec des films poussés à leur maximum et qui présentaient du grain (j’adorais le grain dans les photos noir/blanc).Awek @ BAG Thursday Cette technique, dont on peut voir quelques exemples dans cette article est intéressante parce qu’elle n’est pas qu’une manipulation de « développement » de la photo, mais une combinaison de techniques qui début à la prise de vue. Je n’ai personnellement jamais vu encore ce type de désaturation appliqué aux photos de concerts – ce qui ne veut pas forcément dire que c’est original – et je ne saurais même pas sous quel nom je pourrais chercher sur le web. Ce qui est certain c’est que je vais encore y travailler dans les prochains mois pour améliorer quelques détails de cette technique dont je ne suis pas encore satisfait à 100%.

La plupart des sujets sur lesquels je l’ai appliqué l’ont en tout cas trouvé sympa et personnellement j’aime bien, sinon je ne pense pas que j’aurais renouvelé ma première expérience. Et on verra comment tout cela évolue dans le futur !

Une pochette que je n’ai pas faite

C’est assez marrant quelquefois les hasards de la vie. L’automne dernier je ne sais plus du tout ce que je cherchais sur internet –  cela devait forcément être en relation avec la musique – et je suis tombé sur la description d’un disque dont je n’avais jamais entendu parlé, ou alors je l’avais complètement oublié ce qui est également une possibilité: un vinyle du concert de Luther Allison, Otis Rush et Eric Clapton à Montreux en  1986.  Mais je suis quasiment certain de n’en avoir jamais entendu parlé auparavant parce que si je ne me souvenais pas du vinyle au moins je pense que j’aurais dû me souvenir de la pochette. Parce qu’à y regarder de près, la photo qui illustre ce disque à très probablement été prise à quelques secondes d’une photo que j’ai prise au même moment et dont je vous parlais l’été dernier lorsque j’ai mentionné  Bernard et Luther Allison, et que je vous remets ci-dessous.

Otis Rush, Eric Clapton. Luther Allison

C’est là aussi en comparant la qualité des deux images qu’on mesure que je n’étais qu’un débutant à l’époque. J’en suis toujours un, mais j’avais vraiment une très faible expérience de la photo de concert en couleurs en 1986 et je faisais plus facilement du N/B, qui était un peu plus confortable pour un amateur. En ces périodes lointaines pour faire de la couleur en concert il fallait avoir une sacrée connaissance pour choisir le bon film, ou les bons filtres, la bonne sensibilité  et surtout il fallait une sacrée expérience pour déterminer la bonne exposition, parce qu’il n’y a rien de plus changeant que des lumières de concert. Aujourd’hui ça reste encore partiellement vrai et il faut quand même un peu d’expérience, sauf qu’on n’a plus besoin de filtres et les informations qu’on acquière dès les premières images suffisent pour régler la sensibilité et les conditions de prises de vue.

Si j’ai le temps un de ces jours j’essayerai a) de me procurer une copie de ce disque et b) trouver le nom du photographe qui est l’auteur de la pochette. Mais en attendant si quelqu’un l’a dans sa collection, je serais ravi de connaître la réponse.
Et pour finir quel est la probabilité qu’à quelques semaines d’intervalle on retrouve 2 photos prises au même moment 25 ans plus tôt ?

Complément d’information et merci à mes vieux amis, voici la vidéo et on trouvera les 2 photos entre 5:44 et 5:48. J’ai repéré la photographe Dany Gignoux sur le côté de la scène, elle pourrait être l’auteur de la photo, mais elle travaillait le plus souvent en N/B. C’est une photographe que j’adore, peu présente sur le web, faudra que j’en parle un de ces jours. Allez jusqu’é 9:21 et vous verrez aussi Mike Hucknall, chanteur de Simply Red. Et les décors sont de Keith Haring.

15.10.2012: Ah, je crois bien avoir trouvé que c’est Edouard Curchod qui a pris la photo de cette pochette !

Feux d’Artifice

Le 1er Août est l’occasion d’aller retrouver la belle-famille et quelques amis à Meyrin (siège du CERN) et photographier les feux d’artifice. J’aime beaucoup les feux d’artifice, je pense que ça doit être passionnant de développer des fusées qui vont éclater en couleurs et formes différentes, allier entre elles les substances chimiques, les compartimenter pour les enchaînements de couleurs, minuter les différentes fusées entre elles et programmer tout cela en un ensemble lumineux et varié. C’est bien le seul intérêt d’avoir inventé la poudre à canon !

Ils sont aussi un sujet de photographie très intéressant, qui exige quelques bonnes connaissances techniques, une bonne capacité d’adaptation et aussi beaucoup de chance. Mais comment photographier un feu d’artifice ? Question matériel, l’usage d’un pied est recommandé, parce que même si il est souvent possible de faire une photo au 1/30 de seconde avec une sensibilité haute (800 ou plus ISO) et une grand ouverture (2.8 ou 3.5), le problème est que pendant ce 1/30 (ou 1/15) de seconde, le feu n’a souvent pas le temps de se déployer et il faudra donc travailler entre 0.5 et plusieurs secondes pour capter le feu dans son entier. Il faudra aussi enlever l’autofocus et faire un réglage manuel sur l’infini. A partir de là, il faut jongler entre la sensibilité et l’ouverture pour que les lumières s’impriment sur la carte mémoire sans être trop sur ou sous-exposées. Moi en général je laisse la sensibilité sur 200 ISO, ce qui permet des ouvertures aux alentours f/9.0. Ca s’est pour la théorie, parce qu’ensuite les modifications à apporter dépendront beaucoup du type de feu qui va être lancé, ce qu’on ne sait en général pas à l’avance. En effet, vous avez d’une part les feux très rapides, qui éclatent et de déploient en quelques fractions de secondes, et des feux qui se déploient lentement en scintillant et qui flottent plus longtemps dans l’air. Appliquer un temps de pose de 4 secondes aux feux scintillants et vous aurez tout de suite en effet de flou, qui peut être sympa, mais pas forcément l’effet recherché. Pour avoir le bon temps de pose, on peut aussi choisir de travail en mode  « bulb » et déclencher l’ouverture un peu avant l’éclatement et refermer manuellement dès que le feu s’est déployé, auquel cas on utilisera un déclencheur souple pour éviter les secousses. Les scintillants sont aussi souvent moins lumineux et il faudra peut-être aussi ouvrir un peu le diaphragme ou augmenter la sensibilité. L’autre difficulté, c’est qu’à moins de cadrer très large, les feux en général n’explosent jamais au même endroit dans le ciel. Il y a les fusées courtes et les fusées longues, et sur l’axe horizontal au moins 3 endroits différents d’éclatement des feux (et je ne parle que des petits feux), et il est donc difficile de changer rapidement son cadrage et immédiatement obtenir le bon point de vue. Et le dernier élément, sur lequel le photographe ne peut absolument rien changer, c’est la force du vent, qui devra être suffisante pour pousser systématiquement et rapidement hors du cadre tous les nuages d’explosions souvent disgrâcieux (mais pas toujours). On peut bien procéder à les estomper un peu en post-traitement (ce que j’ai souvent fait ici en augmentant les noirs ou en diminuant la luminosité), ou les enlever complètement en prenant plus de temps; mais le mieux est tout de même d’en avoir un minimum dès le départ !

–> D’autres photos de nuit sur Flickr

La Malédiction des Images qui bougent

Comme tout le monde commence à le savoir, mon truc à moi c’est plutôt les images fixes et j’ai tout lieu de penser qu’il faut que je me cantonne à ça !!!

A la maison nous avons un enregistreur DVD avec un disque dur de 160 gigas. Cet appareil du parfait geek est bien pratique et nous a débarrassé à tout jamais de l’esclavagisme des horaires TV et surtout du carcan des retards et de l’attente entre les longues séries de pub. En effet, à part le journal télévisé (le téléjournal comme on dit chez nous) que nous regardons parfois en direct, nous enregistrons toutes les séries, tous les films et toutes les émissions qui pourraient nous intéresser, afin de les regarder à notre convenance en zappant tout ce qui est inutile. Et j’en profite pour remercier Madame Geekette qui chaque semaine feuillette le programme et sélectionne tout ça avec maestria: il faut aussi dire que je lui ai acheté une super télécommande Harmonie One de Logitech sur les bons conseils d’un autre amis geek, et la programmation devient un vrai plaisir. Mais je m’éloigne de mon sujet. Donc, nous avions jusqu’à récemment une quarantaine de choses qui nous attendaient, dont toute la série de Mad Men ou 24h chrono, pour ne citer que ceux-là. L’autre jour, quelle ne fut pas notre surprise en voulant regarder un enregistrement de constater que tout avait disparu, sauf les 3 choses que nous avions enregistré depuis….. le 1er avril ! Pour un poisson c’était un sacré poisson. Nous avons retourné la question dans tous les sens mais n’avons toujours pas compris comme le disque dur s’était réinitialisé ou comment nous aurions pu par inadvertance effacer 120 gigas d’émissions. Le mystère demeure !

Alexx & Mooonshiners @ BAG ThursdayVendredi dernier,  nous sommes allés dans un bar sympa (le P’tit Bison) pour écouter Alexx and the Mooonshiners. J’avais eu le plaisir de les  photographier le soir avant mais j’avais envie de les écouter tranquillement une bière à la main et m’y suis donc rendu les mains vides. J’ai passé une excellente soirée et vers la fin de leur deuxième set, je me suis souvenu qu’il y avait là un passage instrumental fabuleux, pendant lequel Lionel et David jouent le thème de « Jean-Pierre » de Miles Davis, David enchâine sur des variations de basse et Rodolphe sur un superbe solo de batterie. Typiquement le genre de choses qui ne se voit pas en photo, mais j’ai eu l’idée de sortir mon smartphone pour filmer un extrait de ce moment, ça pourrait être sympa. Je commence d’enregistrer en faisant un superbe plan sur David Braud, le bassiste, un magnifique mouvement tournant sur Rodolphe. J’arrête deux secondes pour changer d’angle, me décide à re-filmer un bout et voit apparaître le message « Carte SD manquante, veuillez insérer une carte ». Sur le coup, je l’ai remis dans ma poche pour profiter de la fin du concert tranquille mais en rentrant plus tard à la maison je n’ai pu que constater que ma carte mémoire avait lâché, qu’elle ne contenait plus aucune information et était dans l’incapacité totale de se réinitialiser. Quelques jours plus tard, en amenant le tout au magasin le vendeur m’a dit: « la carte mémoire, vous êtes sûr ? ça lâche rarement ça ! ». Il l’a remplacée et ça marche de nouveau impec….

Pour finir, heureusement que d’autres ont moins la guigne que moi et j’ai quand même pu me revoir ce passage ! (vidéo ci-dessous (c) Doumé Gamberoni)

Upgrade Successful !

Ayé, un de mes projets pour 2011 est quasiment terminé ! En effet, j’avais une très vieille version de WordPress que je n’avais pas mise à jour depuis que je l’ai installée, c’est-à-dire plus de 2 ans et au niveau de la securité, ça commençait quand même de craindre un peu.

Donc, upgrade et dans la foulée je vais essayer des thèmes nouveaux et différents et rétablir mes plugins préférés l’un après l’autre en éliminant aussi au fur et à mesure ceux qui sont devenus inutiles, obsolètes ou dont je peux me passer. Mais le plus épatant dans tout ça, c’est que là où je pensais en avoir pour deux heures avec plein de problèmes, s’est déroulé en une demi-heure, le temps de bien backuper l’ancienne version et lire correctement la procédure pour éviter les grosses âneries.

Je vais aussi en profiter pour rendre le blog mobile, et même cela a l’air de marcher ! Vive la technologie

Le DRM c’est mal !

J’ai récemment changé de machine, passé à Win 7 64-bit avec lequel est fourni Windows Media Player 12. Il y quelques années je n’utilisais jamais wmp, mais depuis il a fait pas mal de progrès et en fin de compte c’est un lecteur qui me convient. J’ai plusieurs milliers de morceaux en mp3 (tous légaux à quelques rares exceptions près) et pour me faciliter la tâche, j’ai momentanément gardé mon ancienne machine que j’utilise en réseau pour le stockage des morceau, et j’y accède depuis ma nouvelle machine. Jusque-là, aucun problème, la reconnaissance de la bibliothèque s’est fait très simplement et tous mes morceaux mp3 sur le réseau ont été reconnus et lus.

Où l’affaire se corse c’est pour la lecture des quelques wma que j’ai achetés chez Virgin. Je me suis toujours méfié de ce format et des protections DRM mais il y a quelques rares morceaux dont j’avais envie qui ne se trouvaient légalement que dans leur collection et j’ai donc du faire quelques concessions et achete un peu moins de 150 morceaux. Comme ceux-ci n’étaient plus lisibles avec ma nouvelle configuration, je les ai transférés sur ma nouvelle machine après avoir lu quelque part qu’ils ne pouvaient pas être lus de manière partagée. Ensuite, évidemment, à la 1ère lecture il faut à nouveau télécharger la licence et bien que cette action semblait se dérouler sans anicroche,  je recvais à chaque tentative de lecture une erreur dans le wmp.  Je vous passe les détails: après de nombreuses recherches, avoir essayé différentes choses dont la désactivation du pare feu, des réinitialisations de la DRM, des réparations avec les outils de Win7 (qui ne trouvaient aucune erreur), écrit à Virgin qui s’est contenté de me renvoyer tous les liens des morceaux achetés, j’ai enfin trouvé un début de réponse dans un forum de microsoft.

J’ai donc installe et lancé un truc qui s’appelle MS Fix-it. Je n’ai aucune ce qu’il a fait, je ne sais même pas où il s’est installé, et ça c’est quelquechose qui fait déjà peur en soi, mais il a l’air d’avoir réglé le problème ! Mais bon, je me suis quand même tapé la réinstallation des 150 licences l’une après l’autre (je plains les gens qui en ont des milliers !) et après avoir passé 2 heures au moins sur ce problème, c’est certain que je n’achèterai plus jamais de morceaux au format wma protégés par des licences DRM !

Il est tout à fait juste de payer la musique qu’on écoute comme n’importe quel bien de consommation et les artistes méritent leur revenu, mais bon sang, pourquoi faut-il que ça soit si compliqué … ?

Visions du futur

Ca date de plusieurs mois déjà, mais je l’avais gardé dans un coin pour le faire partager un dimanche maussade, et ça tombe aujourd’hui !

La video ci-dessous était dans le blog du Figaro , qui lui même a plusieurs liens que je vous laisse découvrir. Il y a là quelques concepts vraiment géniaux !