IKEA

En règle général je suis plutôt fan du design nordique, de la scandinavian touch, du pin clair et des courbes harmonieuses à des prix abordables, du genre de meubles qu’on a acheté il y a 30 ans en se disant qu’on les changerait rapidement et qu’on possède toujours, mais de passage récemment chez Ikea, là j’ai trouvé qu’à ce prix-là et même en solde ils poussaient quand même un peu le bouchon 😉

No Pasaran

J’ai été particulièrement épaté par le comportement des syndicats suite à l’annonce de la fermeture de Merck Serono. On l’a maintes fois déjà dit dans les médias, mais répétons-le: ils se sont portés au secours des futur ex-employés dès le premier jour, tel le preux chevalier rouge, alors qu’un nombre infime seulement de ces personnes était affilié à un syndicat. Le licenciement le plus important que la Suisses Romande ait connue et le combat contre une multinationale basée en Europe sont des raisons bien suffisantes, me direz-vous, pour qu’Unia se mobilise, parce que ça pouvait être  très bon pour son image. Mais au-delà de l’image, au-delà de l’envie de se mesurer à une multinationale, nous avons surtout rencontré des femmes et des hommes convaincus de la nécessité de la lutte ouvrière, prêts à nous aider et nous soutenir, nous accompagner dans nos démarches et nous conseiller tout en nous laissant à nous les employés le dernier mot sur toutes les décisions que nous prenons. Alors je dis ici, merci Unia, merci le syndicalisme !

Je vous ai dit que je m’étais récemment syndiqué ? 😉

La Suisse fout le camp !

A quelques jours de notre fête nationale à nous, que c’est nous les meilleurs, et tout le tsoin-tsoin,  voilà-t-y pas qu’au boulot je me rends au distributeur de timbres pour poster un CD et me retrouve face à un panneau m’informant que  « la poste a définitivement enlevé ce distributeur de timbres« .

« Bon, me dis-je, c’était bien pratique, surtout quand j’ai besoin d’un timbre à 2.90 CHF comme aujourd’hui, mais qu’à cela ne tienne, comme il fait beau je passerai à la Poste en sortant du boulot. » Là, comme je connais un peu quelques-uns des postiers et postières, je me prépare à me mettre dans la queue et me ravise à la vue de la masse  de gens qui viennent faire leurs paiements le dernier jours du mois.

Swiss National Day 2009Allez, ce n’est pas un problème, je vais aller le prendre au distributeur à l’extérieur ! Pour me rendre compte que celui-ci aussi a disparu ! Il ne me restait plus qu’à refaire la queue pour payer mes 2.90 CHF et apprendre que la Poste mettait au rebut tous ces distributeurs de timbres, vieilles machines dont les pièces de rechange venaient à manquer et que celles-ci n’allaient pas être remplacées. Politique un peu curieuse quand on sait que dans la plupart des offices de postes les clients se plaignent déjà des temps d’attente; ça ne va pas s’améliorer si on doit faire la queue pour les timbres à 2.90.- CHF…

Vive nous et bonne fête nationale à tous !

Hypocrisie

L’hypocrisie du monde me fatigue. Ce n’est pas d’aujourd’hui que les diplomaties de tous les pays retournent leur veste en fonction des vents économiques, ou plus rarement politiques qui soufflent à travers les différents endroits du globe, mais là c’est vraiment trop flagrant et ça m’énerve.

Prenez par exemple et au hasard un pays comme la  Libye. Il n’y a pas si longtemps et  je ne pense pas qu’il faille le rappeller, le « gouvernement » libyen  a fait retenir en otage deux de nos compatriotes pour des raisons obscurs, mais surtout parce que Hannimal Kahdafi s’était fait arrêter à Genève – le pauvre –  pour maltraitance d’employés. S’en est suivi une long bras de fer et pour faire pression sur la Libye  la Suisse avait usé de plusieurs voies: interdiction d’entrée de libyens sur le territoire helvétique et de visa pour Schengen, ainsi que des embargos, par exemple. Tout le déroulement de cette affaire est lui-même empreint de mensonges et de mauvaise foi de part et d’autre, mais ceci est une autre histoire, Ce qui est intéressant à observer ici, c’est le comportement de l’Europe et des divers pays qui la composent vis-à-vis de la Suisse: aucun n’a véritablement soutenu sa démarche, peu lui sont vraiment venus en aide, et au bout du compte la tendance générale était même de faire pression pour que cessent les restrictions que la Suisse avait émise à l’encontre de la Libye (méchants suisses !). Et que constate-on peu de jours après le soulèvement populaire contre Kahdafi ? Ces mêmes pays prennent les mêmes sanctions que la Suisse il y a quelques mois et sont même prêts à faire passer le guide de la révolution devant un tribunal international …

Et bien je peux vous prédire sans trop de risques de me tromper (moins en tout cas que les spécialistes de l’énérgie nucléaire), que si le soulèvement populaire en Libye est étouffé dans l’oeuf – ce qui risque malheureusement d’arriver suite à la mollesse du monde occidental (mais ceci est encore une autre histoire)- le Colonel sera redevenu dans quelques mois quelqu’un de très respectable (plus on a de pétrole, plus on l’est), et on hébérgera sa tente bédouine avec joie chez tous ses nouveaux-anciens-nouveaux-anciens-nouveaux amis.

Grosse fatigue.

PS: suite aux dernières élections genevoises (encore un sujet de fatigue) soyons clairs: je n’ai absolument rien contre l’Europe, ni contre les étrangers, ni contre les frontaliers.. . L’histoire ci-dessus n’est qu’un exemple et on retrouvera les mêmes hypocrisies partout, de tous les côtés.

Fête du Losar

Quand on m’a raconté que j’apparaissais dans un reportage consacré au Losar (le nouvel-an tibétain)  sur la chaîne locale Léman Bleu, je me suis empressé d’aller voir ces images sur leur site. Et quand je me suis vu, je suis parti dans un grand éclat de rire, parce que c’est tout à fait moi, impossible de me renier !

J’ai déjà parlé du Dalaï-Lama et du Tibet il y a très longtemps, c’est d’ailleurs une des très rares pages que je garde d’un de mes plus anciens sites, d’une part parce que le sujet me tient toujours à coeur même si je n’en parle pas plus que ça et aussi parce que je suis toujours aussi content de la photo que j’ai faite de sa Sainteté à l’époque ! Et il est heureux de voir qu’après 50 ans hors de leur pays, la culture et les traditions des Tibétains en exil sont encore vivaces.

 

Fête nationale suisse

Le 1er août – fête nationale des Helvètes comme environ 7 millions d’individus le savent – s’est déroulé dans des conditions de temps pourries, si bien qu’à 20 heures nous avons pris nos alumettes Bengale et nos lampions et fermé nos parapluies pour rentrer chez nous et ne plus ressortir. Bien sûr, au moment des feux d’artifices, la pluie avait cessé, mais nous étions alors bien loin de Meyrin, où traditionnellement nous fêtons l’évènement, et de toute façon n’avions plus trop envie de ressortir. C’est dommage, parce que j’adore faire des photos de feux d’artifice, et là il ne me reste donc plus qu’à montrer celles de l’an passé !

Swiss National Day 2009

–> Toutes les photos sur flickr

Esperanzah! Barcelone

Quantic and his Combo Barbaro @ Esperanzah! BCN

Le festival Esperanzah! à Barcelone en est à sa 2ème édition et il est le petit frère du festival du même nom qui à lieu chaque année depuis 10 ans à l’abbaye de Floreffe, près de Namur. Les deux festivals partagent les mêmes buts d’engagement social, culturel, environnemental et économique que je vous invite à découvrir sur le site belge, à moins que vous ne maîtrisiez l’espagnol. L’affiche du festival, qui s’étale sur 3 jours, est donc plutôt du genre world musique avec chanteurs et groupes engagés ou du moins sensibilisés à ces thèmes.

Comme j’y étais principalement pour y prendre des photos sur l’invitation de mon ami Monsieur Poulet , directeur de la communication de l’évènement, j’ai du coup vu et entendu tous les groupes, et si j’en ai fait un résumé photographie très exhaustif, ici je me contenterai de ne citer que ceux qui m’ont le plus marqué.

Sam Tshabalala @ Esperanzah! BCND’abord Sam Tshabalala, chanteur sud-africain installé en France depuis qu’il a fuit le régime de l’apartheid dans les années 80, qui était présent avec une petite formation constitué d’un guitariste supplémantaire, d’une chanteuse/percussioniste et d’un percussioniste. Plein de petites balades, de chansons qui racontent chacune une histoire, des rythmes entraînants et surtout ces 4 magnifiques voix qui s’entre-mêlent dans des chorus qui ne sont pas sans rappeller les grands choeurs vocaux comme Lady Smith Black Mambazo.

L’autre groupe que j’ai beaucoup apprécié, Poutrelles Fever, n’a rien à voir avec la world musique, à moins que le ska ne soit à ranger dans cette catégorie (où range-t-on le ska, d’ailleurs ?). Pour tout dire j’avais décidé de ne rester qu’une petite demi-heure avant de me rentrer à l’hôtel, mais devant l’entousiasme débordant du groupe, je suis resté jusqu’au bout.
Dans un mélange de ska et de rock teinté de bal musette, Poutrelles Fever a explosé la scène. Curieux d’ailleurs que je les ai rencontré à Barcelone, puisqu’ils sont du Bugey, situé dans un département voisin de notre petit canton.Poutrelles Fever @ Esperanzah! BCN

Sinon, il y avait plein d’autres choses très bien comme la Kinky Beat, Canteca de Macao, Ojos de Brujo, Quantic, Amparo Sanchez ou Antonio Rivas dans Trikordeon. Il était intéressant de constater que parmi tous les groupes présents qui faisaient de la musique plutôt latino, dans le sens très large du terme, presque toutes les chanteuses exprimaient aussi bien dans la voix que dans la gestuelle toute la force de l’héritage flamenco, typique de l’Espagne, même lorsqu’ils font des choses très différentes comme de la salsa, du reggae ou même du rock.

Un festival très intéressant dont on peut voir toutes les photos dans un classeur sur mon espace flickr ou sur l’espace d’Esperanzah! (enfin presque toutes… je suis encore en train de les trier !). En endroit riche en dcéouvertes et rencontres musicales.

To blog or not to blog ?

Selon Ron l’infirmier, blogueur devenu écrivain, le blog est mort ; c’est ce qu’il a déclaré ce matin à Couleur 3. Mince, je ne m’y étais pas encore complètement mis et déjà je ne suis plus à la page !

Il est vrai qu’avec la poussée irrésistible des réseaux sociaux – Facebook en tête, qui propose d’ailleurs d’écrire des articles dans son propre environnement – pourquoi se creuser les méninges pour développer des articles et maintenir un blog alors qu’il est beaucoup plus simple de donner son opinion en appuyant sur le bouton « j’aime » qui émaille Facebook et envahira bientôt le web tout entier ? Ce qui en soi fait très peur, mais ceci est une autre histoire.

Je ne sais pas pour les autres, mais en ce qui me concerne le blog est un moyen de s’arrêter quelques minutes sur un thème, d’y réfléchir un peu pour le développet et si possible apporter un contenu qui apporte un peu de lumière sur les pensées, doutes, envies, passions de son auteur, ou dispense a son lecteur une information éventuellement pertinente ou intéressante (avec un peu de chance). La différence entre un tweet et un article de blog c’est un peu le même fossé qui existe dans la presse écrite entre un communiqué de presse brut d’un quotidien gratuit et un article de fond de plusieurs pages rédigé par un journaliste dans un magazine, avec toutes les nuances intermédiaires qui peuvent exister entre les deux. Si le gratuit a l’avantage de fournir une information rapide et concise, il est impossible de se forger un idée raisonnée sur un sujet sans avoir lu d’autres références ou pris des avis de différents commentateurs. L’existence de l’un n’exclut pas du tout celle de l’autre, et à mon humble avis il est souhaitable que les deux systèmes cohabitent, moi-même je n’ai pas toujours le temps d’approfondir tous les sujets qui m’intéressent autant que je l’aimerais, mais il faut juste maintenir un équilibre – comme dans toutes choses – et éviter de se borner à ce que j’appelerais le fast communication par analogie avec le fast food en croyant qu’il nous procure tout ce dont on a besoin. D’ailleurs, à bien y réféchir, on constatera que même les plus longs et les plus pertinents des articles sur internet ne font guère plus de quelques scrolls d’écran, alors qu’un article de fond de magazine comptera généralement un nombre de mots bien plus impressionnant, ce qui prouve bien que les deux supports ne servent en général pas le même propos et ont donc chacun leur utilité.

Je me suis un peu éloigné de mon sujet pour conclure qu’il y aura toujours des gens qui prendront plaisir à décortiquer, penser, analyser et synthétiser l’information qui leur parvient et la restituer pour le bonheur d’autres personnes. Rejault arrivait d’ailleurs à la même conclusion en affirmant qu’on aura toujours besoin d’un livre en papier qu’on peut laisser tomber sans dommage dans le sable d’une plage. Mince, j’aurais pu me contenter de cliquer « j’aime » à la fin de l’émission de radio de ce matin !

Et si vous voyez cet article sur Facebook, sachez qu’il est d’abord écrit pour mon propre blog, même si il est vrai que par commodité j’ai laissé Facebook l’intégrer automatiquement. Je sais, je suis un faible.

Jim Marshall – Johnny Cash

Les évènements d’actualité provoquent parfois des coïncidences curieuses. Le photographe américain Jim Marshall est décédé à la fin du mois de mars, à l’âge de 74 ans. Marshall a fait de nombreuses photos de stars du rock et de la pop, et il est notamment l’auteur d’une image culte de Johnny Cash tendant son doigt au photographe que je vous invite à voir sur son site.

Hasard de l’actualité, mes amis du groupe deltaR ont lancé au début du mois d’avril leur 1er CD, dans lequel est inclus une excellente version de Folsom Prison Blues, qu’ils avaient travaillé pour un « tribute to Johnny Cash, Hank Williams and Dolly Parton », qui a eu lieu à l’Usine au mois de janvier cette année.

Jim Marshall a fait de nombreuses photos de Johnny Cash, comme celle qui est inclue dans cet article (avec la permission de son représentant et (c) Marshallphoto.com) où on le voit justement à la prison de Folsom où il donna un concert en 1968 qui relança sa carrière. Sa collection comprend de nombreuses photos des années 60 avec des mythes comme Hendrix, Dylan, les Beatles ou les Who souvent photographiés hors scène dans des portraits intimistes ou des attitudes sympathiques, comme cette image de Dylan s’amusant avec une roue dans les rues de new York. Il est aussi l’auteur de nombreuses couvertures de disques et de photo reportages pour des magazines de rock ou de jazz, et bien évidemment de nombreux livres. Jim Marshall fut aussi un des photographes officiels du festival de Woodstock en 1969.

Cash at Folsom Prison (1968) (c) Jim Marshall
Cash at Folsom Prison (1968) (c) Jim Marshall

Kirk Anspach, qui fut pendant de nombreuses années son tireur (le gars qui développe les films et les photos) dit de lui que Jim marshall ne sous- ou sur-exposait jamais: toutes ses prises étaient parfaitement équilibrées et de plus parfaitement cadrées. N’ayant pas les moyens de m’acheter des kilomètres de pellicule, c’est l’école par laquelle je suis passée: essayer de réussir dès la 1ère prise, et je reste toujours admiratif de ceux qui y parviennent.

Une bien belle carrière dans le sillage des légendes du rocket un grand photographe qui s’en est allé retrouvé Jimi, Janis et Johnny.

Cette article était écrit depuis le début du mois d’avril, mais suite à quelques emails pour demander la permission d’utiliser cette image, le temps s’est écoulé et du coup le thème n’était plus tellement d’actualité. Mais comme j’ai de la chance, la Télévision Suisse Romande diffuse vendredi prochain un documentaire sur le même Johnny Cash à la prison de Folsom. J’espère qu’on y verra Jim Marshall !

Site officiel Jim Marshall
Jim Marshall sur wikipedia

Expérience de Milgram

Pendant mes années de collèges, un de nos profs nous avait entretenu de l’expérience de Milgram, qui avait suscité de grandes discussions et interrogations parmi mes condisciples, et c’était peut-être suite au visionnement au ciné-club d’I comme Icare, film de Verneuil dans lequel cette expérience est citée.

Milgram est un psychologue américain qui a montré au début des années 60 à quel point un individu pouvait abandonner ses principes moraux lorsqu’une autorité (scientifique dans le cas de ces premières expériences) le relève de ses responsabilités. L’expérience est simple: dans le cadre d’un projet pour améliorer l’apprentissage, un volontaire doit apprendre par coeur des associations de mots et à chaque fausse réponse qu’il donne, l’autre volontaire lui fait subir une décharge électrique, de plus en plus forte. En réalité, le premier volontaire est un acteur et aucun courant n’est appliqué.

A leur grande surprise, une majorité de participants (plus de 60%) a infligé des décharges électriques qu’ils savaient être à des niveaux très risqués, voire mortels, simplement parce qu’une autorité supérieure (le scientifique) leur autorisait à le faire et en assumait l’entière responsabilité.

Cette même expérience à été refaite dans un cadre un peu différent, présenté comme un jeu télévisé, avec un vrai public, et l’autorité scientifique est remplacée par une animatrice, devenue donc une autorité télévisuelle. Plus de 80% des participants sont allés aux limites des décharges, malgré les cris ou l’absence de réponse de l’acteur après les décharges les plus fortes, laissant à supposer qu’il pouvait même être mort. Et la raison de cette cruauté n’était même pas l’argent, puisque les candidats étaient engagés pour un pilote du jeu et ne gagnaient que 40 euros.

Si vous ne connaissez pas cette expérience, regardez ou enregistrez le documentaire qui passe sur France 2 mercredi 16 mars et qui vous montrera jusqu’où peuvent aller les candidats de la Zone Xtrême, et vous verrez ensuite la vie et l’humanité d’un autre oeil, et pas forcément avec plus d’optimisme.

Pour ma part, depuis qu’on m’avait parlé de cette expérience il y a très longtemps, je m’étais toujours promis de ne jamais plus céder aux pressions extérieures, quelles qu’elles soient, et j’ai toujours oeuvré en ce sens. Je n’ai aucune idée jusqu’où je serais allé dans la Zone Extrême, mais j’aime croire que je me serais arrêté assez rapidement. D’ailleurs, c’est peut-être une des rares faiblesses de cette récente expérience: le recrutement s’est fait comme pour n’importe quel jeu télévisé par une société spécialisée et les personnes selectionnées sont d’abord celles qui veulent passer à la télé, qui est déjà un pourcentage plus faible de la population. En réalité il n’y avait déjà quasiment aucune chance que je me retrouve sur ce plateau, l’idée de départ me paraissant déjà débile. Et j’ai beau travailler dans le milieu de la recherche, j’ose croire que je respecte certaines limites, même pour la beauté de la science.

Donc, si quelqu’un vous propose un jeu télévisé dans lequel vous risquez d’être tué par un autre concurrent, sachez qu’il y a plus de 80% que cela vous arrive rééllement, dès l’instant où la production dira à votre adversaire qu’elle en assume la responsabilité … Vivement les prochains jeux télé !