Lunch atop a skycraper

Lunch Atop a SkyscraperJ’ai déjà parlé plusieurs fois de Mike Stimpson (Balakov sur flickr), qui fait avec génie des reproductions d’images célèbres en remplaçant les personnages par des legos, ou simplement des mises en scènes rigolotes de scènes imaginées, comme il le fait avec des legos starwars.

Eh bien peu de temps avant de partir en vacances en septembre j’ai vu passer dans mon flux fessebouc un message disant en substance « j’ai des tirages en trop de quelques images si cela intéresse quelqu’un ».

Parmi les images mentionnées, il y avait le fameux « Lunch atop a skyscraper », dont l’original a été pris pris en 1932 à New York par Charles C. Ebbets. Je me suis empressé d’en commander un exemplaire à Mike et j’ai enfin pu l’accrocher cette semaine dans mon salon ?

J’adore !

San Francisco Art Exchange

De passage à San Francisco pour la fin de nos vacances fin septembre, nous somme passés par hasard devant une galerie de photos en rentrant un soir à notre hôtel. Dans la vitrine principale une superbe image de Jimi Hendrix, et d’autres photos, d’autres mythes rocks des années 50-70 qu’on pouvait apercevoir dans la pénombre. Wouah ! Le lendemain soir je suis donc retourné pendant les heures d’ouverture à la San Francisco Art Exchange pour y découvrir une exposition photo consacrée à Jimi Hendrix, avec aussi quelques magnifiques photos des Beatles, des Who ou des Rolling Stones, pour ne citer que ceuc-ci. Et pas juste des photos obscures et moches que personne n’avait jamais vues, mais des images iconiques, connues et reconnues dans le monde entier, prises par les plus grand photographes de concerts ! Il suffit ‘aller sur le site de la SFAE pour s’en convaincre. Re-Wouah !

J’étais comme un gamin à Noël dans un magasin de jouets, passant d’une photo à l’autre, y revenant de multiples fois et restant de longues minutes en contemplation. Même si certaines de ces photos ont été vues des milliers de fois, c’est quand même une expérience complètement différente que de voir des tirages originaux de haute qualité en grand format, qui donnent parfois l’impression de vraiment se trouver face à l’artiste !

Parmi les photos que j’ai adorées, il y avait une photo de Mick Jagger discutant avec Jimi par Eddie Kramer, une superbe photo couleur de Jimi Hendrix de David Montgomery, un tableau de Ron Wood sobrement intitutulé « Jimi and me »; une jolie découverte puisque je ne savais pas que Ron Wood peignait, et même plutôt bien !

PHOTOGRAPH BY GERED MANKOWITZ copyright: BOWSTIR Ltd. 2010/mankowitz.com

Et puis il y avait aussi cette très belle photo en noir/blanc de Gered Mankowitz, que j’inclus dans cet article, qui était une de mes images préférées avec celle de David Montgomery mentionnée plus haut.

Curieusement j’étais tout seul dans la galerie avec les employés et un autre monsieur qui discutait un peu à part avec quelqu’un qui était probablement le patron du lieu. Comme j’étais seul et visiblement intéressé, j’ai commencé à bavarder avec un des employés, qui m’apprit que la trentaine de photos visible dans cette expo n’était que le 5% de leur collection dans l’arrière boutique. Re-re-Wouah !

Après quelques minutes de discussion, il s’approche un peu plus de moi, baisse le ton et me dit: « ne vous retournez pas maintenant, mais la personne qui est là derrière en train de discuter avec mon patron est justement le photographe Gered Mankowitz ». Re-re-re-Wouah !

En sortant de la galerie, comme il me croisait forcément et que nous n’était pas nombreux on s’est donc dit bonjour, et j’ai marmonné un truc stupide dans le genre « euhhhhh…. superbes photos ! », puis il est parti, continuant sa route. Je n’aurais pas eu grand chose de plus à lui dire à ce moment-là, parce que même en connaissant certaines de ces photos, je n’étais pas plus que ça au courant de sa carrière, mais avec le recul je me suis dit que ça aurait été vraiment sympa d’aller boire un verre et de lui demander comment était Hendrix ou les Stones et surtout comment c’était vraiment de faire des photos de concert à cette époque où le matériel était très différent de ce qu’on peut trouver aujourd’hui.

Gered Mankowitz a sorti récemment un livre – EXPERIENCE: JIMI HENDRIX AT MASON’S YARD – consacré à Jimi Hendrix que je pourrais bien demander au Papa Noël.  Publié par Insight Editions, il est disponible sur Amazon et une édition spéciale est disponible sur Snap Gallery.

Le lendemain matin je suis retourné à la galerie avec ma femme et donné mon email à la personne que j’avais vue, ce qui n’est peut-être pas une très bonne idée, parce que maintenant je reçois des invitations à des vernissages d’expos consacrées à Keith Richards ou d’autres, et ça me fend chaque fois le coeur. Mais si vous aimez le rock et les photos de rock, n’hésitez pas à passer à la San Francisco Art Exchange !

Article dans le même genre: Jim Marshall

Copyright information

La photo de cet article est de Gered Mankowitz copyright: BOWSTIR Ltd. 2010/mankowitz.com et est utilisée avec son aimable autorisation.
The photography in the article is by Gered Mankowiz copyright: BOWSTIR Ltd. 2010/mankowitz.com and is used with his kind permission.

The Rambling Wheels vs The Who

Rambling Wheels @ Festiverbant 2010

Avant de partir en vacances je suis allé au Festiverbant pour y prendre quelques photos pour l’organisation. Le Festival rock de LanDEcy est un évènement éminemment sympathique, qui propose 3 soirées gratuites de rock, pop et blues avec de nombreux groupes locaux et quelques vedettes de niveau national ou international, dans un joli coin de la campagne genevoise.

Parmi les groupes que j’avais envie de voir et écouter (qui étaient nombreux, mais j’y reviendrai probablement un peu plus tard), il y avait The Rambling Wheels, un groupe rock de Neuchâtel débordant d’énergie, qui sautait et bougeait sur scène et se donnait complètement à fond et qui a été bien apprécié par le public.

J’ai naturellement été très content de réussir cette photo du guitariste bondissant, qui n’est pas sans rappeller The Who dans leurs jeunes années. Les Who ont toujours été parmi mes groupes préférés: je suis un fan inconstionnel du jeu de guitare de Pete Townshend et pour les avoir vu et écouté relativement récemment à Paléo (20.7.2006) je peux affirmer qu’ils n’ont rien perdu de leur pêche ni de leur énergie, même si Pete n’a probablement plus les genoux pour faire des bonds tels qu’il les pratiqueait dans le temps. Le bondissant Pete, dont j’ai toujours adoré aussi les images de sauts et autres contorsions sur scène. De nos jours il n’y a plus beaucoup de personnes qui s’éclatent ainsi sur scène et je suis donc bien heureux d’avoir croisé la route des Rambling Wheels pour faire moi aussi une photo « à la Pete Townsend » !

(Et en passant, je m’excuse auprès des auteurs de ces photos des Who, je n’ai pas été capable de trouver leurs noms pour lex créditer correctement).

Tiens, à propos de genoux et de photos, il faudra que je vous parle d’Antelope Canyon un de ces jours …

Toutes les photos des Rambling Wheels ici –> http://www.flickr.com/photos/sitatof/sets/72157624865316084/with/4949584804/

Jim Marshall – Johnny Cash

Les évènements d’actualité provoquent parfois des coïncidences curieuses. Le photographe américain Jim Marshall est décédé à la fin du mois de mars, à l’âge de 74 ans. Marshall a fait de nombreuses photos de stars du rock et de la pop, et il est notamment l’auteur d’une image culte de Johnny Cash tendant son doigt au photographe que je vous invite à voir sur son site.

Hasard de l’actualité, mes amis du groupe deltaR ont lancé au début du mois d’avril leur 1er CD, dans lequel est inclus une excellente version de Folsom Prison Blues, qu’ils avaient travaillé pour un « tribute to Johnny Cash, Hank Williams and Dolly Parton », qui a eu lieu à l’Usine au mois de janvier cette année.

Jim Marshall a fait de nombreuses photos de Johnny Cash, comme celle qui est inclue dans cet article (avec la permission de son représentant et (c) Marshallphoto.com) où on le voit justement à la prison de Folsom où il donna un concert en 1968 qui relança sa carrière. Sa collection comprend de nombreuses photos des années 60 avec des mythes comme Hendrix, Dylan, les Beatles ou les Who souvent photographiés hors scène dans des portraits intimistes ou des attitudes sympathiques, comme cette image de Dylan s’amusant avec une roue dans les rues de new York. Il est aussi l’auteur de nombreuses couvertures de disques et de photo reportages pour des magazines de rock ou de jazz, et bien évidemment de nombreux livres. Jim Marshall fut aussi un des photographes officiels du festival de Woodstock en 1969.

Cash at Folsom Prison (1968) (c) Jim Marshall
Cash at Folsom Prison (1968) (c) Jim Marshall

Kirk Anspach, qui fut pendant de nombreuses années son tireur (le gars qui développe les films et les photos) dit de lui que Jim marshall ne sous- ou sur-exposait jamais: toutes ses prises étaient parfaitement équilibrées et de plus parfaitement cadrées. N’ayant pas les moyens de m’acheter des kilomètres de pellicule, c’est l’école par laquelle je suis passée: essayer de réussir dès la 1ère prise, et je reste toujours admiratif de ceux qui y parviennent.

Une bien belle carrière dans le sillage des légendes du rocket un grand photographe qui s’en est allé retrouvé Jimi, Janis et Johnny.

Cette article était écrit depuis le début du mois d’avril, mais suite à quelques emails pour demander la permission d’utiliser cette image, le temps s’est écoulé et du coup le thème n’était plus tellement d’actualité. Mais comme j’ai de la chance, la Télévision Suisse Romande diffuse vendredi prochain un documentaire sur le même Johnny Cash à la prison de Folsom. J’espère qu’on y verra Jim Marshall !

Site officiel Jim Marshall
Jim Marshall sur wikipedia

Happy Valentine

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Today, instead of flowers I sent to my geeky wife a link (don’t worry, she got flowers earlier).

As I mentionned in an earlier post, I’m a big fan of Mike Stimpson’s work and his lego photos and I love the text under this one : « Imperial troops were never trained for this ».
Check out the complete legend and other pictures on
Mike’s flickr space (Balakov).

Aujourd’hui, au lieu de fleurs j’ai envoyé à ma geek de femme un lien (mais ne vous inquiétez pas, elle a reçu des fleurs un peu plus tôt).

Comme je l’ai déjà mentionné dans un précédent article, j’adore le travail de Mike Stimpson et ses photos de legos, et le texte de l’image ci-dessus: « Les troupes impériales n’ont jamais été entraînées pour ça ».
Retrouvez la légende dans son entier et d’autres photos sur l’espace flickr de Mike (Balakov).

This photo is, cette image est (c) Mick Stimpson, Balakov

Get yer ya-ya’s out

Get yer ya-ya’s out est mon cadeau d’anniversaire 2010 et je dois dire qu’il me fait énormément plaisir à plus d’un titre. En novembre 2009 cet album des Stones a été réédité pour commémorer le 40e anniversaire de leur concert au Madison Square Garden de new York en y ajoutant des chansons qui n’étaient pas présentes sur l’album original, un CD de bonus avec BB King et Ike & Tina Turner et enfin un DVD en 5.1.

Je l’ai déjà esquissé dans un précédent article sur les Beatles, mais la période 1968-70 est à mon avis la meilleure période du rock’n’roll et de la pop, et c’est aussi ma période d’éveil consciente à la musique; je me demande d’ailleurs si les 2 sont liés. The Who enregistraient Live at Leeds et venaient de sortir de Tommy, les Beatles enregistraient leurs plus beaux morceaux à Abbey Road, les Doors avaient composé Light my Fire et Led Zeppelin était en train d’incuber Stairway to Heaven. On pouvait entendre dans les festivals de Woodstock et de l’Ile de Wight le grand Jimi ou Carlos Santana et c’est aussi l’époque où les plus belles couvertures de disques étaient produites.

Au Madison Square Garden, les Rolling Stones ont joué le sublime et explosif Midnight Rambler – qui reste un de mes morceaux préférés à écouter ou jouer – une version inégalée de Sympathy for the Devil sans les « hou-hou », Jumping Jack Flash, Honky Tonk Woman, mais aussi Love in Vain, très beau morceau de Robert Johnson. Cette rééditon nous rappelle donc que les Stones sont au sommet de leur art, complètement en phase avec leur héritage rock (Chuck Berry) ou blues, notamment avec le bonus track You Gotta Move de Fred McDowell. Le livret qui accompagne le coffret ne pouvait que me plaire lui aussi, puisqu’il est écrit en grande partie par Ethan Russell, un photographe qui a accompagné les plus grand, y compris les Stones pendant cette tournée, qui dévoile quelques anecdotes à propos des photos prises lors de ces concerts, avec d’outres commentaires historiquement intéressants.  En conclusion: que du bonheur !

Quand je pense en plus qu’à l’époque j’habitais à moins de 100 km du Madison Square Garden et à environ 200 km de Woodstock… C’est peut-être ça le truc: j’ai senti et me suis impregné de quelquechose qui était dans l’air à cette époque-là 😉

Et je vous laisse avec le teaser.

Subway

J’ai adoré Subway,  lors de sa sortie en 1985. Avec son esthétique de BD, son histoire de marginaux et sa description d’une vie parallèle dans le métro de Paris, ce film de Luc Besson était un énorme bol d’air dans le cinéma français de l’époque et tous les jeunes s’y reconnaissaient d’une manière ou d’une autre. J’avais déjà été impressionné par l’étrangeté et la noirceur du Dernier Combat, film post-apocalyptique en Noir/Blanc qui n’a pas grand’chose à voir avec Subway mais qui révéla Besson comme un grand réalisateur.
Pour situer, cette période-là fut aussi celle des sorties de Brazil, Dune et Terminator, qui marqueront aussi leur époque.

Subway est un film policier qui se déroule en sous-sol, avec ses éclairages artificiels et ses néons, des reflets sur les zincs et les néons, des ombres, et des passages sombres ou mal éclairés. Une image qui m’a marquée. C’est donc très logiquement que lors d’un voyage à Paris en 1985 (peut-être mon premier ?) j’avais décidé de me balader dans ce même métro pour y prendre une série d’images et explorer cet esthétisme particulier. A l’époque les images en lumière artificielle m’intéressaient déjà passablement et cette expérience fut une étape important dans ma progression photographique ou artistique (si je peux me permettre d’utiliser ce terme) et je suis très content aujourd’hui de sortir celles-ci de la naphtaline.

Beatles for Sale

Suite à la remasterisation de l’intégrale des Beatles, nous (enfin surtout « j’ai ») avons craqué et nous l’avons achetée bien avant Noël. Les Beatles sont probablement le groupe que je connais le mieux, ils ont bercé mon enfance à partir de 7-8 ans et ne m’ont jamais quitté même si par la suite je me suis ouvert à de nombreux autres styles musicaux.

Mon premier souvenir des Beatles remonte à 1968-69, alors que j’habitais au USA, de retour de l’école chez mon copain Paul (ça ne s’invente pas), son grand frère nous fit écouter un truc formidable d’un album qu’il venait d’acheter. Ne m’intéressant pas encore à la musique à cet âge là, j’avais juste retenu une mélodie sympa et entraînante, pour complètement oublier tout ça quelques minutes plus tard. Ce n’est que quelques années plus tard, de retour en Suisse dans les années 71-72 qu’un jour j’entends à nouveau « Ob-la-di, Ob-la-da » à la radio et me souviens du morceau entendu des années plus tôt chez Paul. En âge cette fois de retenir le nom du groupe, j’ai commencé de collecter et écouter tout ce qui existait sur les Beatles, allant jusqu’à me faire offrir pour Noël l’intégrale des partitions que je me suis mis à apprendre à la guitare. Ca c’est pour la petite histoire.

A l’époque j’avais beaucoup emprunté de disques pour les mettre sur cassettes (pirate !), et comme je connaissais quasiment toutes les chansons par coeur et étais passé à autre chose dans les années 1985-90, je n’avais racheté aucun des CD lorsqu’ils furents numérisés, si ce n’est juste les deux fameuses compilations rouge et bleu. De ce point de vue-là, au moins je n’aurai pas de doublons avec cette intégrale.

C’est assez sympa de suivre à nouveau la progresssion et l’évolution des Beatles, en lisant les notes historiques qui ont été ajoutées dans chaque CD. Il y a pas mal de choses que j’ai redécouvertes, notamment des années 1964-65, mais pour les oublier à nouveau rapidement parce que pour moi l’album « Beatles for Sale » n’est de loin pas un des meilleurs, mes préférences allant soit aux très vieux morceaux plutôt rock’n’roll, ou surtout à toute la partie expérimentale qui débute dans l’album « Revolver ».

De nombreux articles ayant parus à ce propos, je ne vais pas m’étendre sur le « nettoyage » des bandes pour ces remasterisations, seulement pour dire que l’amélioration est bien réelle et s’entend: le son est beaucoup plus clair, les différentes pistes mieux séparées. Je ne vais pas non plus épiloguer sur l’aspect commercial avec la sortie simultanée du jeu, parce que personne ne m’oblige à l’acheter, mais si ça peut faire découvrir les mélodies des Beatles aux jeunes générations, pourquoi pas. Une chose est sûre, je ne regrette aucunement cet achat !

http://en.wikipedia.org/wiki/Apple_Records
http://en.wikipedia.org/wiki/The_Beatles

BLB en 1981 à la Tchaux !

BLB @ La Tchaux, 1981Le grand chêne, ne l’oublie pas, fut d’abord un gland . J’aime beaucoup cette devise qui me rappelle l’humilité : on a tous un jour débuté sans expérience et sans connaissances, avec les erreurs et errements que cela implique.

J’ai donc commencé à me replonger dans mes archives photographiques pour voir si il y avait quelque chose à en tirer et un des premières choses sur lesquelles je suis tombé est une série de dias d’un concert du Beau Lac de Bâle à la Chaux-de-Fonds en 1981, où Alex Périence assurait la première partie. Elles ne sont vraiment pas terribles techniquement, mais je pense qu’il doit s’agir là du premier concert que j’ai photographié (en dia en tout cas), et à l’époque je n’avais vraiment aucune idée comment procéder et aucune expérience de ce genre de photos. Je n’ai pas demonté un cadre pour aller voir le film, mais j’ai probablement utilisé un film 1600 ISO (on disait encore ASA à l’époque) pour lumière du jour, sans compensation d’aucune sorte, d’où la dominante rouge et le déséquilibre des couleurs.

Au moins ça prouve que je suis un fan du BLB depuis plus de 25 ans ! Et outre leur aspect historique et nostalgique ça me fera plaisir d’envoyer à Edith de Nantes la photo avec Rocky. D’ailleurs je constate après coup qu’elles ont 28 ans presque exactement, à quelques jours près. En outre, j’ai croisé Patou d’Unkou sur un passage pour piétons il y a 10 jours. Il y a des signes qui ne trompent pas !

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Now playing: Tejas Blues Band – Love in Vain
via FoxyTunes

Numéro 6 s’est échappé !

Portmeirion

En effet Patrick McGoohan s’en est allé, il a quitté le village comme l’a si bien titré le figaro cinéma.

Je l’ai bien entendu adoré dans les épisodes du prisonnier (the prisoner en vo), mais aussi à chaque apparition dans des épisodes de Colombo, pour lesquels il a écrit plusieurs scénarii bien tordus. Il est définitivement devenu un homme libre !